lunes, 14 de julio de 2014

Telerama - Comentario sobre la versión francesa de "El colectivo"



« Cela fait trois soirs que l'autobus passe sans ouvrir ses portes. » Partant de cette phrase sibylline, l'Argentine Eugenia Almeida construit son premier roman comme une pièce de théâtre où dialoguent une poignée de personnages indécis. Tous attendent et s'interrogent sur une situation qui dégénère dans le pays. Les militaires sont à leur porte. Coups de feu et rumeurs, méfiance et désinformation. Peu à peu, ce roman minimaliste prend une superbe dimension épique pour évoquer un pays ­écrasé par la dictature militaire.

Christine Ferniot - Telerama n° 3272
29/09/2012 










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