lunes, 29 de julio de 2013

A l'ombre du Cerisier: comentario sobre la versión francesa de "El colectivo"













Dans une petite ville d’Argentine, près de Cordoba, un homme et une très jeune femme, "étrangers" tous les deux, ainsi que M. Ponce l’avocat local, et sa sœur attendent l’autobus qui passe une fois par jour. Seulement ce soir là, l’autobus ne s’arrête pas et accélère... Impensable que le chauffeur ne les ait pas vus selon l’avocat qui subit ici un terrible outrage à sa condition. Or le même jour, le commissaire sur ordre et sans plus de précision de sa hiérarchie, demande au garde barrière de bloquer le passage de la voie ferrée jusqu’à nouvel ordre. Dans une ville où tout se sait et tout se dit, l’ignorance est mère de toutes les curiosités les plus malsaines. Pourtant l’homme et la femme inconnus choisissent pour quitter cette ville de fous, malgré les recommandations du patron de l’hôtel-bar, de partir à la ville suivante en remontant la voie de chemin de fer...

Voilà un court roman que l’on a du mal à lâcher une fois commencé. Autour de cette histoire qui attise la curiosité, du lecteur cette fois, Eugenia Almeida dessine une galerie de personnages sensibles et drôles. Elle nous plonge parfaitement dans l’ambiance d’une ville de « province » où tout le monde se connaît et où chaque étranger est perçu avec doute.

Un court roman conseillé par une bibliothécaire qui me fait l’honneur de passer par là quelquefois, alors merci à elle pour cette bonne surprise ! Ah... Si les bibliothécaires n’existaient pas... Quant à vous, point d’hésitation possible face à l’enthousiasme de deux d’entre eux !

http://alombreducerisier.over-blog.org/article-17557062.html


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